Je sais que tu es déçue…
Oui, Roxy, je sais que tu es déçue de n’avoir rien à lire à ton retour !
Mais deux jours passent si vite… Je vais rapidement brosser le tableau de mon week-end et je sais que tu imagineras tout ! Samedi courses (pas de pub !) : nous avons des invités ce soir. Henri grogne car il sera « seul » et « c’est vraiment nul une soirée comme celle-là où tout le mode l’abandonne ». Je tente d’argumenter, en vain, que nous sommes à la maison et qu’il n’est pas seul ! Je crois (eh oui ! Le croiras-tu aussi ?) que tu lui manques ! Et qu’il aurait aimé avoir son père pour lui tout seul ! Il me revient à présent qu’il a été de mauvaise humeur toute la journée : parce que pas de mail de Jean-Pol, parce qu’il n’y a pas tennis ce samedi, parce qu’on ne fait jamais rien avec lui… Et il a fini par partir à vélo tondre la pelouse chez les grands-parents. Moi, j’étais aux fourneaux et, le lendemain, dimanche matin, à la vaisselle. Mais c’était une très agréable soirée !
Ensuite, j’ai délaissé mes prépas ! Et quand tu es revenue, tu m’as trouvée scotchée devant l’ordi résolue à trouver avant minuit un lieu sympa et pas trop cher pour les vacances d’été. C’est pour la paix des ménages… G-Ph trouve déjà que nous avons trop tardé ! Et souhaiterait faire l’impasse sur les vacances de cette année. Moi, pas ! Alors, montagne ou soleil ?